Quand on pense aux femmes dans le cinéma d’horreur, les clichés débarquent à cent (sang, début de la lignée des jeux de mots pourris) à l’heure. De la blonde peroxydée à la vierge au cri facile, les banalités pleuvent. Mais certains cinéastes ont l’intelligence de mettre en avant des personnages féminins passionnants dans le cinéma de genre. Certains utilisent ces clichés pour mieux se moquer, d’autres en jouent, quand certains font des femmes des héros sanguinaires. Retour sur ces forces de la nature au féminin tout aussi capable que des hommes musculeux. Je ne peux malheureusement pas parler de tous les cas, mais si certains exemples vous semblent immanquables et ne figurent pas dans la liste, parlons en dans les commentaires 😉 !
Attention Spoilers

Il y a des actrices qui sont indissociables des films horrifiques, comme Neve Campbell dans son rôle de Sidney Prescott dans les quatre Scream, Heather Langenkamp avec son interprétation de Nancy Thompson dans trois des films Les Griffes de la nuit ou Jamie Lee Curtis dans les deux premiers Halloween, puis dans Halloween 20 ans après et enfin dans la suite prévue en 2018 où elle incarne Laurie Strode/Cynthia Myers (mais Jamie Lee Curtis joue aussi dans de très nombreux autres films du genre, avec entre autres Le Bal de l’horreur, Déviation Mortelle, …). Dans ces slashers, les héroïnes sont certes des victimes continuelles du tueur en série, mais elles ne sont pas passives et parviennent à survivre grâce à un caractère fort et une véritable combativité. De plus pour Scream et Halloween, les tueurs ont un véritable lien familiale avec elles, la première devient victime de son petit ami à cause de la négligence de leurs mères, la seconde est pourchassée par son propre frère. Loin des victimes féminines jouets criardes des habituels monstres, ces personnages prennent à chaque fois le dessus sur le tueur et apprennent de leurs erreurs au cours des films de ces sagas.

En dehors du slasher, les femmes peuvent montrer une combativité à tout épreuve dans les situations les plus difficiles, comme dans The Descent (que je passerai ma vie entière à conseiller tellement je suinte d’amour pour ce film) où de jeunes femmes en quête d’adrénaline organisent une descente en spéléo mais se retrouvent coincées avec d’étranges créatures mangeuses d’hommes (enfin de femmes pour le coup). L’héroïne Sarah puise sa force dans le souvenir de sa fille disparue quelques mois plus tôt, à l’instar du film Silent Hill où Rose cherche son enfant dans cette ville fantôme et pousse sa quête malgré des visions atroces de créatures plus abominables les unes que les autres. Ces femmes ne sont alors à mes yeux pas des victimes et deviennent même des bourreaux pour survivre en se transformant en aventurière sanguinaire.

Poussons plus loin dans cet aspect combatif de la femme dans les films d’horreur. Les bourreaux peuvent également être des demoiselles loin d’être en détresses. Elles se montrent souvent d’une cruauté et d’une barbarie à la mesure de leur beauté. La plus marquante de ces déesses sanguinaires est très certainement Baby Firefly dans La Maison des 1000 morts et sa suite Devil’s Reject, incarnée par Sheri Moon Zombie, femme du génial réalisateur/chanteur Rob Zombie (qui se ressemble s’assemble, et en maîtres de l’horreur ce couple se pose là). L’actrice est d’ailleurs égérie de son mari et joue dans tous ses films, sorte d’icone magnifique et peroxydée mais au gout du sang très prononcé. Dans la même veine (ahaha veine, continuons dans la lignée des jeux de mots pourris), Amber Heard incarne Mandy, une rose empoisonnée qui utilise son aura magnétique et sa beauté hallucinante pour mieux tuer et se servir des hommes dans Tous les garçons aiment Mandy Lane. Plus récemment dans Grave, la douce et d’apparence inoffensive Justine interprétée par Garance Marilier se révèle être en réalité un dangereux prédateur. Autre film français, Haute Tension montre une Cécile de France tortionnaire avec son personnage Marie, tueuse en série utilisant savamment couteau, tronçonneuse et fusil, loin de l’aspect craintif qu’elle dégageait pourtant. Leur corps est alors chez ces femmes un appât pour des victimes trop crédules face à ces beautés tueuses.

Loin des clichés de femmes fragiles et hystériques, le Cinéma propose dans les films de genre des femmes semblant inoffensives mais rompant rapidement le ton en se montrant agressives, monstrueuses ou encore combatives, bien plus fortes et manipulatrices que leurs homologues masculins. J’aurais aimé parler de toutes les femmes reine de l’horreur, mais l’article serait tombé dans la redite lourde. Mais discutons avec plaisir de vos références dans les commentaires.

Bonus …
La scène de l’ordinateur au tout début de The Thing de John Carpenter, où la voix venant de la machine est celle de la femme du réalisateur Adrienne Barbeau, qui prononce sans cesse un « echec et mat » à un Kurt Russell ivre et désabusé. Cette voix revancharde sonne comme une annonce face à tous ses hommes qui vont mourir dans les deux prochaines heures. Seul caractère féminin de l’histoire, elle est un châtiment triomphal dans ce film qui aurait pu sembler misogyne.
Mais aussi …
- Reagan et sa mère dans L’Exorciste, William Friedkin, 1973
- Ripley dans Alien et ses suites, Ridley Scott, James Cameron, David Fincher, 1979 – …
- Lorraine Warren dans Conjuring et sa suite, James Wan, 2013 – 2016
- Amanda Young dans Saw et ses suites, James Wan, 2004 – …
- Rosemary dans Rosemary’s Baby, Roman Polansky, 1968
- Clarice Starling dans Le silence des agneaux, Jonathan Demme, 1991
- Ana dans L’armée des morts, Zack Snyder, 2004
- Dana dans La Cabane dans les bois, Drew Goddard, 2012
Et beaucoup d’autres…

C’est vrai que the Descent se laisse bien regarder! A mon avis tu as tout dis, j’allais mentionner the Conjuring, mais c’est fait 🙂
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Alors voilà ma préférée c’est Katie, la petite amie dans Paranormal Activity. C’est elle qui a les bons comportements et elle qui a raison tout le temps. S’il se passe des choses paranormales, c’est d’abord et avant tout parce que son connard de petit ami ne l’a pas écoutée…
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J’ai failli la mettre mais comme la dernière fois que je l’avais vu c’était au cinéma je n’étais plus sûr de son caractère à elle. Merci pour cet ajout =)
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Tu oublies la plus badass 🙂 des Girl Power : Sarah Butler alias Jennifer Hills dans I Spit on Your Grave
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Bah tu m’apprends quelque chose, je ne connais pas du tout ce film!! Je m’en vais de ce pas le noter =) !
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J’oubliais, essaye aussi de voir la version de 78…
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Article passionnant sur mon genre chouchou du cinéma ! En femme « forte » je pense aussi au film Misery avec le personnage de Annie Wilkes qui m’avait fortement marqué lorsque j’étais plus jeune ! Ou encore l’héroïne de l’Orphelinat, une femme forte qui cherche son enfant sans relâche. Et bien évidemment Ripley, qui est mon modèle depuis que je suis ado haha xD
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Oh moi qui adore Misery j’ai complètement oublié de la mettre! Pourtant j’ai souvent vu ce film. Kathy Bates est une actrice extraordinaire, j’adore sa filmo. Merci beaucoup pour ces partages =) !
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Ah! je n’imaginais pas qu’elles étaient bien représentées! SUrprenant, mais comme je ne connais pas la production de ce genre… 😉
Je ne regarde pas du tout – ou presque. Je suis étonnée que Le silence des agneaux soit dans cette catégorie. 😉
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C’est vrai qu’il n’y a pas de consensus pour ce qui est de catégoriser Le silence des agneaux. Le roman est clairement horrifique, le film est à mes yeux un thriller horrifique =)
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Ahhhhh, les hurlements de Jamie Lee Curtis dans Halloween. Une merveille. Je pense que le film aurait été beaucoup moins flippant sans les cris de JLC. Une petite pensée pour sa maman Janet Leigh, qui elle aussi a donné de la voix dans le film Psychose….. Elle y tenait un petit rôle mais quel rôle !!!!
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Oui sa mère est tout aussi incroyable mais pour le coup elle est simplement victime elle n’avait malheureusement pas sa place dans cet article… Mais un jour je parlerai d’elle dans un autre article pour rattraper cette faute ^^
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A reblogué ceci sur CINE-MART .
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Très bel article ! C’est vrai qu’au final les femmes dans les films d’horreur tiennent des rôles parfois badass et en tout cas bien différents de la simple blonde effrayée ! Ca donne envie de continuer ma découverte du genre horrifique. La mention de The Descent et Silent Hill m’ont ravie ^^ Ainsi que Ripley. Merci pour le bel aperçu de cette thématique !
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J’aime d’amour The Descent et Silent Hill. D’ailleurs ce dernier est à mes yeux la meilleure adaptation de jeu vidéo au cinéma =)
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Je suis assez d’accord ! Même si le film a quelques défauts, je trouve qu’il retranscrit très bien l’ambiance de Silent Hill…
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Très bon choix de sujet, émaillé de chouettes jeux de mots (si, si !). Sinon, je pense aussi à l’étonnant You’re next. Un home invasion assez malin dont le concept renvoie à l’un des meilleurs épisodes de la saison 1 de Masters of horror : La survivante. Pour moi, la plus belle héroïne du fantastique et de l’horreur se trouve d’ailleurs à la TV : Buffy Summers. Avec cette série, c’est la blonde qui chasse les monstres et plus l’inverse. Petite précision qui peut te sauver la peau si le tueur de Scream te passe un p’tit coup de fil pour te poser quelques questions cinéphiliques : Jamie Lee a seulement joué dans les deux premiers Halloween. Ni elle ni Michael Myers n’apparaissent dans le sous-estimé Halloween 3, le sang du sorcier. Mais je chipote. Je sais très bien que tu es la Neve Campbell de la blogosphère.
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J’ai fait une bourde, elle ne joue pas la soeur de Myers mais on entend tout de même sa voix au téléphone où elle joue une opératrice, en mode clin d’oeil. Mais pour ce qui est de l’oeil toi tu l’as 😉 ! Merci beaucoup je vais modifier ça 😉
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Du coup, tu n’avais pas tort puisqu’en quelque sorte, elle joue bien dans le film (même si ce n’est pas dans le même rôle). En plus, j’avais oublié ce caméo vocal. Bien vu !
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Et puis ça m’apprendra aussi ^^, d’habitude je ne parle que des films que j’ai vu et pour le coup je n’ai vu que les deux premiers Halloween et le Halloween de Rob Zombie (qui est excellent d’ailleurs).
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Ah, Lorraine Warren, c’est pour moi LA femme que j’aimerai vraiment voir plus souvent dans les films d’horreur, même si dans « The Descent » c’est déjà pas mal effectivement !
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Je comprends ton amour pour Vera Farmiga, elle est exceptionnelle en Mme Warren, elle a une sorte de fragilité et de force son personnage est passionnant! D’ailleurs cette actrice joue toujours ce genre de personnage fort, je pense aux films In the air et Le Juge.
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C’est une actrice incroyable et je trouve qu’on ne la voit justement pas assez !
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Sympa ce petit article ! Je vois que Buffy est déjà citée dans les commentaires (bon, pour ma part, je ne la classerai pas dans les séries horrifiques mais il est vrai qu’elle inverse les clichés habituels). Sinon, il y a les héroïnes de Ginger Snaps : en l’occurrence, on a 2 soeurs, dont une va être mordue par un loup-garou. On devine la suite… Ginger Snaps a aussi ceci d’intéressant qu’il établi tout un parallèle entre lycanthropie et puberté féminine, s’il frôle à certains moments la misandrie, j’avais trouvé cet angle de vue très intéressant ! (surtout qu’il y a inversion des rôles, avec Ginger, la contaminée, qui se comporte en dominante avec son rendez-vous, par exemple). Bref, ça vaut le coup d’oeil !
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Alors je n’ai jamais autant aimé les commentaires que ceux sur cet article! Je découvre pleins de films dans vos retours dont ce Ginger Snaps que j’ai très envie de découvrir très très vite… Genre ce soir du coup! Merci pour ce partage passionnant!
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De rien, mais surtout merci à toi pour cette petite analyse bien sympa ! (et bon visionnage ! ^^)
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Moi j’ai remarqué que dans l’immense majorité des films d’épouvante (esprits, manifestations fantomatiques, possession etc) ce sont des femmes qui jouent les premiers rôles : The Ring, The Grudge, Gothika, L’Exorciste. Ce sont souvent elles qui ont subi, et ce sont elles qui se vengent. Dans le cinéma d’horreur les hommes sont plutôt des barbares sanguinaires, des psychopathes dérangés, les femmes sont la représentation d’un maléfice plus insaisissable, ou moins terre à terre.
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Tu as tout à fait raison et pourtant dans l’imaginaire collectif les femmes dans les films d’horreur sont des proies insupportables, alors même quelles sont au contraire des personnages forts et indépendants 🙂
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Je confirme, The Descent est très bien, et je confirme les commentaires, je suis un très grand fan de Ginger Snaps (j’aime la trilogie, mais le premier wow ❤ Et j'adore l'actrice Katharine Isabelle aussi). Une perle passée inaperçue (le film, pas l'actrice). Avec elle, il y a aussi son rôle de femme forte dans American Mary des soeurs Soska que j'aime beaucoup.
Sinon marrant que tu parles des rôles de final girls dans les slashers, car j'ai vu cette semaine le slasher (ultra censuré) Cherry Falls de 2000 avec Britanny Murphy et Michael Biehn, qui s'amuse à contourner le plus gros cliché du genre : le tueur ne s'en prend qu'aux vierges. Ça m'a fait rire, le film n'est pas exceptionnel, mais c'était pour l'anecdote.
Et pour continuer sur ce que disais Eric, même dans les rape & revenge finalement, les femmes deviennent fortes et se vengent (une amie est fan du genre et des parties revenge de ces films).
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J’ai complètement zappé de parler du rape ans revenge dans cet article ce qui en soit est un gros oubli !! Je vais sûrement écrire une autre partie…
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Ou fait tout simplement un article sur le genre. Enfin si tu t’y connais. Même si dans le fond, il y a beaucoup plus de mauvais que de bon dans le genre, mais il est pas inintéressant.
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Moi qui est beaucoup de mal avec le viol au cinéma je ne pense pas écrire un article dessus… Même si j’adore le film La dernière maison sur la gauche…
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J’adore ce type de dossiers. Peut-être que je me trompe, mais j’ai toujours eu l’impression que s’il y a un genre où la femme est plus « forte » que l’homme depuis des années, c’est dans le film d’horreur. Bien sûr, il y a toujours des minettes qui se font trucider, mais un peu comme le gars lourd, ou le black de l’équipe. Ce sont les codes qui veulent ça. Dans beaucoup de films, dont certains que tu as cités, on a une femme, une mère qui se rend toujours compte bien avant son mari que quelque chose tourne mal, et qui, en général, se débrouille seule, et résout les choses elle-même. Vraiment, il y a pas mal de films d’horreur où le mari/le père est très effacé, voire un boulet, comme si les personnes masculines n’étaient pas suffisamment réceptives au paranormal, ou moins courageuses finalement. Je pense à Mama, et pleins d’autres films du genre. Je trouve tout ça intéressant, (et il n’y a bien sûr aucun jugement de ma part contre les femmes ou les hommes, ce ne sont que des stéréotypes du cinéma après tout).
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Oui je comprends tout à fait, je n’ai pas non plus fait un article anti mec ça serait complètement ridicule et pas du tout en accord avec ma pensée ^^ ! Mais c’est vrai que les mères se montrent plus d’émotions dans les films, ce qui amène justement cette qualité propre à la survie: la réceptivité et la préparation face au danger. Ce qui est quand même assez cliché mais cool parfois dans les films.
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PS : je voulais dire l’orphelinat, et non Mama ! La figure maternelle de Mama, c’est encore autre chose xD
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Ravi d’apprendre cette passion pour « The Descent », film que je place également très haut au panthéon de l’épouvante (voir au-delà), coup de maître d’un réalisateur qui par ailleurs s’est montré plutôt médiocre. Par contre je ne te suis plus dans « Silent Hill », malgré toute l’affection que j’ai pour monsieur Gans, érudit en matière horrifique.
Tu cites en dernier recours l’immense John Carpenter (encore une des idoles que nous avons en commun, décidément) : j’ajouterais, au risque de faire hurler certains, l’héroïne de « Ghosts of Mars » qui joue du flingue pour échapper aux sioux de la planète rouge.
Superbe passage en revue de ces dames « deadlier than the male » comme disait un vieux titre.
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Je crois que je n’arriverai jamais à savoir si j’aime ou non Ghost of mars. Ce film a des défauts rédhibitoires mais j’ai tout de même de la sympathie pour ces personnes bodybuldés… Pourquoi n’aimes tu pas silent hill ?
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Je n’en garde que le souvenir de ces tableaux horrifiques, très graphiques, du monde d’à côté. Malgré l’ambiance (ou à cause de ce decorum), je n’ai pas spécialement partagé d’empathie avec les personnages. J’aimais mieux quand Gans s’essayait à être une sorte de Tarantino à la française avec « Crying Freeman » ou « le Pacte des Loups ».
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C’est justement son aspect visuel très halluciné et cauchemardesque qui rend ce film incroyable. Par contre le deux quel bousin ^^ !
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J’avais oublié jusqu’à l’existence de ce numéro 2. Tout comme je ne me suis jamais aventuré dans la deuxième « Descent « , de peur d’être foncièrement déçu.
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The Descent 2 est une infâme aberration, qui d’ailleurs est incompréhensible pour nous français car la fin du premier film diffère des US, et que le deux en est la suite direct.
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Super ton article !! 😀
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Merci =D !
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